Fressengeas - Valadeau

A déclaré, pour le contrat de mariage d'Armandine et Lucien, ne pas savoir signer

Sans profession

Marie Dejean a versé pour la dot de sa fille Armandine,en avance
sur son héritage,la somme de 1200 francs en 1908.
Ce qui correspond à 4000 euros 2011;nul doute que compte tenu
de sa situation,celà devait représenter la totalité de ses économies.
Elle a règlé en espèces devant Notaire,soit 12 pièces de cent
francs or,dont la reproduction figure à la rubrique média.

extrait:1908-"les Prix flambent" -- " Le franc germinal ou franc or, finalement très stable (0,32 g d'or), est conservé dans de nombreuses chaumières, maisons ouvrières ou appartements bourgeois. Chacun met de côté pour ses vieux jours. Rares sont en effet les professions où l'on peut bénéficier d'une pension."

Il existe une Albertine Déjean, épouse Lespinasse, née en 1915 au Bras de l'homme, en Maison de retraite à Sarlat le 11 novembre 2014. Les témoins sont M. et Mme Savaroche, fermiers au Bras de l'homme, mais sur la commune de Sarlat.

Probablement dénommée "Phrasie" Déjean au Bras de l'homme, selon Mme Savaroche.

Selon l'article de Wikipedia la concernant et les sources que cite cet article, Aspasie aurait géré une maison close à Athènes. Courtisane de haut rang, recherchée autant pour ses talents intellectuels que pour ses attraits physiques, Aspasie aurait porté un nom professionnel : ἀσπάσια / aspásia signifiant « la bienvenue ». Plutarque indique qu'elle aurait tenu une maison close de haut vol, formant de jeunes courtisanes au métier et attirant chez elle hommes politiques et philosophes grâce à sa grande culture. Encore selon Plutarque, sa maison serait peu à peu devenue l'un des centres de la vie culturelle athénienne, accueillant les philosophes les plus éminents, tels que Socrate et ses disciples, qui s'y rendaient fréquemment. Elle aurait enseigné l'art oratoire et politique à un auditoire composé d'importantes personnalités de la cité, tels que Sophocle ou le sculpteur Phidias. Plutarque ajoute qu'en dépit de l'immoralité de sa conduite, des hommes conduisaient leurs femmes, pourtant assignées à résidence, à la demeure d'Aspasie.

Si la plupart des sources s'accordent à faire d'Aspasie une prostituée, il faut néanmoins considérer cette thèse avec prudence. En Grèce antique, le moyen le plus commode pour attaquer un adversaire politique était de dénoncer ses mœurs, et l'accusation de prostitution était régulièrement utilisée. Faire d'Aspasie une hétaïre revient également à mettre en avant son statut de métèque : comme telle et comme femme, elle n'est pas supposée se mêler de philosophie ou de politique, disciplines considérées comme exclusivement masculines. Certains auteurs remettent donc en cause le fait même qu'Aspasie ait pu être une courtisane